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Sa petite biographie:

Nous ne pouvons pas évoquer la psychanalyse sans parler de lui. Né le 6 mai 1856 et décédé le 23 septembre 1939 d’un cancer de la mâchoire, il est issu d’une famille de 10 enfants dont 2 demi-frères issus d’un premier mariage du côté de son père. Marié en 1886, il aura eu 6 enfants. C’est un homme très brillant et il obtint à 25 ans son doctorat en médecine. En 1885, il part à Paris en stage à l’hôpital de la Salpêtrière dans le service du célèbre neurologue Jean Martin Charcot qui l’initie à l’hypnose pour le traitement de l’hystérie. De retour à Vienne, il prend la responsabilité pendant 10 ans d’un service de maladies nerveuses infantiles. C’est à 30 ans qu’il ouvre son cabinet privé. Il abandonna l’hypnose et n’en retint que la position couchée du patient derrière lequel il s’installait de sorte qu’il le voyait sans être vu. Il fonde alors les bases de la psychanalyse. Il publie en 1900 son livre sur l’interprétation des rêves. Il fonde la Société Psychologique du Mercredi qui devint en 1908 la Société psychanalytique de Vienne. Un bon nombre d’analystes se rencontrent pour débattre de la théorie freudienne et de la psychanalyse. La psychanalyse fait l’objet de critiques quant à la pertinence de sa description du psychisme et son efficacité thérapeutique. Hier comme aujourd’hui, elle est toujours extrêmement décriée.

Sa « méthode »:

C’est une « méthode » de traitement des troubles névrotiques. Sigmund Freud postule que toutes nos pensées et nos actes ne sont pas arbitraires. De plus, les rêves, les lapsus, les actes manqués, ou les symptômes sans cause physique (par exemple l’hystérie) nous parlent de ce qui est refoulé. Nous les prenons pour des erreurs, des loupés, mais en fait ce serait des « actes réussis » : une expression de l’inconscient. La psychanalyse permet de comprendre ces logiques inconscientes. La consigne majeure lors d’une séance est de tout livrer sans retenue. Ce que S. Freud nommait la libre association. A l’analyste d’amener l’analysant à libérer sa parole pour une meilleure compréhension de ses mécanismes de refoulement et une possible résolution de ses conflits.

Selon S. Freud, la formation du psychanalyste repose sur une analyse didactique (le futur psychanalyste est lui-même en analyse et en supervision). Cela lui permet de reconnaitre ce qu’il en est du transfert/transfert négatif et du contre-transfert.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]