Trois semaines que je re-nais tous les jours à ma vraie nature après un accident de la route qui m’a ébranlée dans toute ma structure et sur tous les plans !

« Brillantissime » dans l’art de se soigner au naturel et dans toutes les formes d’accompagnement en vérité, je me retrouve comme défragmentée.

Les blessures corporelles ne sont pas si graves bien que douloureuses et handicapantes pour le moment ! Je vais de mieux en mieux tous les jours.

Naître à moi-même est à un endroit de moi encore plus enfoui et mystérieux que je ne l’imaginais.

Puissance au-delà d’un corps meurtri et affaibli ! c’est le mot DESIR qui s’inscrit en lettre de feu de vie dans toutes mes cellules. Et même si je pleure, je rage, je désespère de mon état, je me sens bien vivante ! La peur est vivante, la solitude est vivante, la souffrance est vivante… et l’immobilisme imposé est bien vivant.

Je pense aux bien plus meurtris et aux petits miracles qu’ils créent envers et contre tout. Je pense aux miracles que je vais continuer à transmettre avec mon tout mon amour ! C’est encore plus évident.

Je reconnecte l’ESSENTIEL ! Je revisite mes priorités ! Je vous le partage… écris lentement d’une seule main où je prends patience et réflexion !

Extrait de mon futur livre co-écrit
avec Thomas Marcilly :

« Je suis en chemin. Nous le sommes tous !!! Ma promesse est celle d’un témoignage sincère. Il sera imprégné de mes interrogations et de mes remises en question. En toute simplicité et en toute vérité. Je n’ai pas la prétention de vous enseigner une énième technique de développement personnel mais de provoquer une émotion en vous, pour vous. De provoquer une réflexion profonde. J’ai le désir de vous faire écouter le chant de la vie qui vous berce et que vous pouvez déployer envers et contre tout. Il y a le chemin parcouru, parfois ardu, et il y a la magie de tous les possibles car nous sommes illimités en créativité. Nous sommes des êtres inachevés mais ce n’est pas péjoratif car c’est la source de toutes transmutations. J’ai envie de vous partager un hymne à la vie.

Avant d’entendre puis de savourer le chant de la vie, il a fallu des années d’enquête car, au fond, je ne me connaissais pas vraiment. De crises identitaires en crises identitaires, il a fallu des années pour accueillir les changements opérés et aussi des années pour les assumer. Des années pour oser le vivant.

Etre en chemin, c’est aussi prendre patience et se donner le temps. C’est toucher à l’indicible où règne l’angoisse et la confusion et oser plonger en soi.
Oser le vivant, c’est oser rencontrer les zones d’ombres pour les transmuter ! « 

Je le suis plus que jamais!