« L’écopsychologie » est un accompagnement global où je me situe spontanément. Notamment lorsque j’initie des consultations dans la nature, grâce à la marche consciente et thérapeutique.

C’est tout à fait le propos aussi de mes stages de ressourcement en Afrique et au Kenya auprès des éléphants (Voyage en Soi sur la terre des éléphants®).

Voilà pourquoi, de la naturopathie à la psychanalyse, j’articule mes accompagnements autour de ces prises de conscience salutaires pour notre esprit, pour ne pas dire notre âme.

Utiliser le contact à la nature pour se sentir mieux est une expérience simple et à la portée de tous. Vous le savez bien, vous l’expérimentez dès que vous vous promenez. Tout est là, c’est cadeau ! Prenons en soin ! En prendre soin, c’est prendre soin de vous !

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Écopsychologie : écologie et psychologie

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Pour bien comprendre, voici quelques définitions :

  • « Écopsychologie est le nom le plus souvent utilisé pour cette synthèse émergente de la psychologie (qui embrasse les domaines psychothérapeutique et psychiatrique) et de l’écologie.  D’autres termes ont été suggérés… Mais quelle que soit sa dénomination, la thèse sous-jacente est la même : « l’écologie a besoin de la psychologie, la psychologie a besoin de l’écologie. » Theodore Roszak 
  • « L’écopsychologie fait se rencontrer la sensibilité des thérapeutes, l’expertise des écologistes et l’éthique de l’énergie des militants pour l’environnement. » Lester R. Brown 
  • « L’écopsychologie, située à la charnière des sciences naturelles et des sciences humaines, semble donc intégrer en elle tout ce qui touche la relation unitaire de l’homme avec la nature, et, de la sorte, ses études entretiennent d’étroits rapports avec les courants écosophiques, les pensées traditionnelles et les visions artistiques qui l’ont précédé dans cette démarche. » Roland de Miller 
  • « Concrètement, l’écopsychologie étudie les effets qu’un environnement pollué a sur la santé mentale et comment les nuisances de notre monde moderne peuvent ajouter à l’anxiété, au stress et à l’aliénation dont nous semblons souffrir de plus en plus… 

Elle explore également les effets que notre relation psychologique avec la nature a sur l’environnement. Elle se pose enfin des questions du genre : de quelle manière la dévastation de nos écosystèmes est-elle liée aux différentes formes de détresses psychologiques. » Francis Mazure 

Vivre en connexion avec la nature

J’ai déjà écrit quelques articles sur notre lien à la nature. Je le nomme « le lien au vivant sous toutes ses formes ». Sans doute parce que nous traversons une crise sans précédent, il est important de redéfinir notre place sur notre planète pour accueillir et protéger tous les règnes (animal, végétal et minéral).

Beaucoup de thérapies sont issues de cette prise de conscience à l’heure des bilans écologiques plus qu’éprouvant.

Cela pose vraiment la question de notre relation avec la nature pour, je l’espère, quitter le déni de nos outrages. Il est impératif que cette relation incontournable soit manifestée par le plus grand nombre.

Non seulement, afin de continuer à vivre des ressources de la planète avec plus de discernement, mais aussi afin de bénéficier de cette belle énergie sur un plan physique et psychique.

L’être humain s’est en effet « déconnecté » depuis l’avènement de l’ultra mondialisation et de l’ultra consumérisme. Mais le bilan des pollutions humaines n’est pas le propos de cet article.

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Interrelation entre l’humain et la nature

S’il fallait en rajouter pour vous convaincre de revenir plus proche de la nature, de tout temps, toutes les traditions ont honoré notre planète et tous ses règnes.

Cette interdépendance, offrant un équilibre de vie, est le socle de l’évolution et de la pérennité de notre civilisation. Il n’y a pas de rupture entre notre nature profonde, psychique et spirituelle, et l’environnement extérieur.

Les sociétés archaïques avaient développé une écoute particulière des éléments. Cela veut dire que nous en avons l’information au cœur de nos cellules. Nous pouvons nous réaligner à cette écoute subtile de nos besoins fondamentaux tout en prenant soin de notre environnement.

C’est un noble défi de contribuer à la guérison de l’humanité et de notre planète. Et si c’était une façon de s’extraire des difficultés du quotidien pour s’élever, observer et prendre des initiatives ? Et si c’était la meilleure façon de décrocher de ses contrariétés pour ne pas dire de ses traumas ?

Quoiqu’il en soit l’écothérapie est une pratique transdiciplinaire développant notre capacité d’interagir. C’est une philosophie de vie permettant de changer de regard sur soi et sur les autres, tout en prenant soin de soi : par des activités sensorielles dans la nature nous reprenons le chemin d’une pensée plus positive avec une meilleure gestion de ses émotions.

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A savoir :

 Dès le 1er avril, vous pourrez prendre rendez-vous pour un accompagnement en « éco thérapie » à la rencontre de la nature et des animaux. Vous vivrez une immersion de 12 h (6x2h) au cœur de la nature et du vivant, afin de découvrir chacune des propositions ci-dessous : 

  • Equithérapie (médiation animale grâce aux chevaux)
  • Sylvothérapie (le pouvoir bienfaisant des arbres)
  • Zoothérapie (médiation animale en général)
  • Hortithérapie (mieux-être grâce au jardinage)
  • Ecothérapie (immersion en pleine nature)
  • Walk and talk (marche thérapeutique) …

Tarif dégressif en fonction du nombre de participants (prix par personne pour 12h réparties en 6 rdv). Me consulter pour les modalités.

De plus, j’ai créé un accompagnement sur plusieurs mois à raison d’une ou deux journées par mois : « Voyage en Soi dans l’Ain ». C’est par ici pour en savoir plus !

A très vite sur le chemin !

Carole

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Nouvelles dates pour les stages de reconnexion à la nature sauvage et aux éléphants : 15 au 27 juin pour le Kenya et 24 novembre au 7 décembre pour la Thaïlande.

Je vous rappelle que vous pouvez trouver mon livre « Oser vivant, naître à soi-même » sur la plateforme de mon éditeur Edilivre.

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Sources :