Le vivre ensemble et la sortie du confinement :

une réflexion nécessaire ?

 

Le vivre ensemble, cela m’évoque un article que j’avais publié fin 2018 après la ruée des gilets jaunes dans nos rues. J’ai exactement le même sentiment : c’est une occasion inespérée de rendre l’aventure humaine plus profonde et authentique.

Je ressens l’évidence et aussi l’urgence d’une véritable prise de conscience sur la question du développement durable. Nous l’appelons aussi transition écologique. En fait, cette transition concerne tous les domaines de notre vie. Le vivre ensemble c’est l’alliance avec tous les règnes, c’est l’alliance homme/nature/animal.

Ce qui explique mon engagement en tant que :

psychanalyste,

animatrice d’atelier philo auprès des enfants – association Savoir Etre et Vivre Ensemble

accompagnante en voyage initiatique auprès des éléphants. 

Dans tous les domaines et pour tous les règnes, il y a à créer une rencontre vivante et respectueuse, une alliance dans l’écoute et le respect de chacun.

En amour comme en affaire, dans la sphère privée comme dans la sphère professionnelle, entre les hommes et les femmes, les jeunes et les moins jeunes, les animaux, les végétaux… Quelle est ma participation pour construire un avenir meilleur et équitable ?

– la spiritualité, la psychanalyse, la psychologie et la psychothérapie pour mieux se connaître,

– l’art de soigner au naturel pour une meilleure prise en charge,

– se sentir vivant et engagé,

– s’interroger,

– s’investir dans un projet solidaire… il y a tant de façons de faire sa part de colibri… pour des actions écologiques de préservation de nos espèces, de tous nos règnes et de notre santé… 

Un coup de cœur : le référendum pour les animaux !

(cliquez pour plus d’infos)

Expliqué par Hugo Clément :

Est-ce enfin le début d’une vraie réflexion pour mieux vivre ensemble ?

Ensemble, nous pouvons réussir à faire concrètement avancer les choses. C’est aussi un plaidoyer pour l’avenir. Un plaidoyer pour notre avenir. Nous ne devons plus nous dissocier de la nature et de tous ses règnes. Cette négation du vivant nous amène vers des crises à la fois écologiques et sanitaires (Covid 19 y compris !).

Le vivre ensemble

 

 

1- Comment faire ?

Loin de ce pulsionnel sociétal, nous avons à trouver un autre chemin et ceux « d’en haut » une autre réponse.

Autour de l’évidence d’un collectif qui doit collaborer et renoncer aux surenchères d’une surconsommation, y aurait-il le même élan, la même énergie ? La prévalence du collectif sur l’individuel n’est pas qu’une idée politique. C’est l’union qui fait la force et crée un champ de résolution et pas que dans son microcosme. C’est comme un système ondulatoire qui nous relie tous au cœur de notre humanité. La violence attire la violence. La paix attire la paix. L’amour attire l’amour.

2- Tout est possible ?

Le vivre ensemble c’est : Aimer, partager, accueillir seraient le nouvel engagement car liberté, égalité, fraternité semblent ne plus teinter à nos oreilles, comme des mots désuets.

Une nouvelle dynamique s’offre à nous
Nous créons ce que nous pensons

« Les résultats de la recherche ont montré que lorsque nous pratiquons la cohérence cardiaque et que nous transmettons de l’amour et de la compassion, notre cœur génère une onde électromagnétique cohérente dans l’environnement local qui facilite la cohabitation sociale, à la maison, au travail, en classe etc. Au fur et à mesure que de plus en plus d’individus rayonnent la cohérence du cœur, cela crée un champ énergétique qui permet aux autres de se connecter plus facilement avec leur cœur. Donc, théoriquement, il est possible qu’un nombre suffisant de personnes construisant la cohérence individuelle et sociale puisse réellement contribuer à une cohérence globale qui se déploie. »

La citation ci-dessus vient de Deborah Rozman, présidente de Quantum Intech.

3 – S’aimer, s’accepter et se pardonner

A votre pouvoir créateur mes chers lecteurs et lectrices. Nous sommes liés les uns aux autres. Nous devons relever le défi d’une cohérence positive entre nous. C’est une invitation à créer une paix sociale, une amélioration de nos conditions de vie pour beaucoup et la sauvegarde de notre planète.

4 – « Déclarons la paix »

Ce chapitre pour rendre hommage à deux grands hommes. Je reprends par là-même le titre du livre du Dalaï Lama et de Stéphane Hessel. Un pur bijou. Je suis, tout comme vous, face à ces nombreux constats d’impuissance qui nous mène parfois à un défaitisme tel que nous ne savons même pas quoi dire ni quoi penser. C’est là le danger que représente cette avalanche de mauvaises nouvelles. Elle coupe court à la foi en un avenir meilleur.

Reprenons plutôt ensemble quelque chose de divin et de sacré au-delà de tous dogmes, de toutes religions et de toutes prises de pouvoir.

5- Cela parait utopique

Cela parait utopique parce que nous ne changeons pas de point de vue. Pourtant, tout se transforme et nous aurions la capacité d’aller bien plus vite dans toutes nos mutations. Si nous ne le faisons pas, c’est que des hautes instances prennent encore trop de pouvoir sur nous en nourrissant des peurs. Celles de la maladie, du manque, de l’étranger… Cette minorité se sert puissamment et efficacement de tous les leviers possibles pour nous contraindre à leurs diktats.

6- Croire en un avenir plus serein

Soit, nous continuons à exceller dans la politique de la terre brûlée en grands ignorants que nous sommes des lois sacrées. Soit, nous devenons conscients d’une mission de vie au nom de plus grand que nous, c’est à dire la nature dans toute sa divinité, et nous apprenons à mieux faire, avec toute la lenteur qu’il faut pour intégrer nos changements, avec les tentatives pour certains de ne pas vouloir que cela change, avec l’urgence où nous mettent les catastrophes naturelles…

Au nom de tous, donnons-nous les moyens de sauver notre humanité balbutiante. Nous n’avons plus l’éternité devant nous dans notre folie de la penser d’emblée. La crise écologique devrait nous rassembler. Nous n’avons plus le temps ni le luxe de toutes nos incohérences, paradoxes, jeux de dupe…

Les discours haineux sont des discours de dispersion et de manipulation tragique. Engageons-nous dans une réelle décroissance. Plus l’union semble être l’unique sortie de cette gabegie plus nous entendons des guerres de clocher qui divisent et annulent les efforts consentis par de plus en plus de personnes.

En quête de sens : le voyage en soi sur la terre des éléphants/voyage initiatique et spirituel 

La spiritualité nous relie à l’école de la vie et permet une élévation du débat pour ne pas dire un changement de paradigmes. C’est quitter la pensée unique d’auto-préservation archaïque et égoïste pour un projet bien plus grand : la transmission.

Nous pourrions nous mettre au service de plus grand que nous dans des perspectives de progrès pour tous. L’humain serait au cœur de sa responsabilité d’honorer la terre et d’en prendre soin : remettre du sens et créer un égrégore positif et durable.

Garant de notre héritage, nous apprendrions à nous priver du superficiel pour une sobriété heureuse. Stop au gaspillage… Être équitable… et respecter la vie sous toutes ses formes…

Le passage pour une transition durable est un vrai défi qui engage chacun à trouver sa stabilité, sa force et sa sécurité intérieure. Il s’agit de nourrir nos belles ressources et être en lien avec le vivant. Nous sommes à la fois l’élément et l’ensemble, le seul et le collectif.

Je crois que nous pouvons décider de regarder la beauté en toutes choses. Ce regard d’amour envers nous-même et envers chacun est une ouverture de conscience. Celle du cœur et de la tolérance, du respect et de l’entraide.

Il n’y pas de petites actions pour rendre ses lettres de noblesse à notre planète mais il s’agit avant tout d’avoir une attitude intérieure qui nous ramène à un essentiel de réalisation.

Sobriété et gratitude sont sources d’abondance

et de toute transformation

Le vivre ensemble : plaidoyer  !

  • Consommer local et bio – Se soigner au naturel
  • Reprendre une agriculture sensée et modérée y incluant des élevages à dimension humaine – favoriser l’agroécologie
  • Revégétaliser avec le plus de variétés possibles – Interdire la déforestation – Limiter l’urbanisation
  • Voyager en mesurant l’impact écologique
  • Ouvrir des espaces de parole : café philo, atelier philo pour les enfants
  • Interdire le commerce des animaux domestiques et sauvages, vivant ou mort. Limiter la consommation des animaux
  • Rester humble – Avoir de l’empathie pour tout le vivant
  • Savoir partager les richesses
  • Ho’oponopono : Je suis désolé, Pardonne-moi s’il te plait, Merci, Je t’aime

Le vivre ensemble

et le « voyage en soi

sur la terre des éléphants »

 

Un retour en soi pour se rendre disponible à un Oser le vivant, Naître à soi-même dans le plus grand respect du collectif. Là est la place d’une introspection dans la dimension de la Voie de la profondeur où psychanalyse et spiritualité font bon ménage ! C’est une voie vivante !

La spiritualité, la psychanalyse ou la psychothérapie pour mieux se connnaître, l’art de soigner au naturel pour une meilleure prise en charge, se sentir vivant et engagé, s’interroger, s’investir… il y a tant de façons de faire sa part de colibri… pour des actions écologiques de préservation de nos espèces, de tous nos règnes et de notre santé…

C’est ce qui se vit au cours du voyage initiatique que j’ai nommé « Voyage en soi sur la terre des éléphants ».

Je vous propose de prendre contact avec moi pour plus de renseignements sur ce voyage solidaire et humanitaire organisé en Thaïlande dans la région de Chiang Maï. Ainsi je pourrais vous transmettre la brochure de présentation.

C’est avec l’agence Safarine Tours Thaïland que vous serez pris en charge dans les meilleures conditions de voyage.

Retrouver les grands principes du voyage spirituel dans mon  livre : Oser le vivant, Naître à soi-même – www.edilivre.com